Forcément, on finit par attraper Ador, on apprend à le connaître, on se fait expliquer des choses puis l’on assiste à des moments de peinture, on le regarde dessiner et rigoler avec ses copains. On rencontre son ami Sémor, avec qui il peint et travaille depuis huit ans. L’énergie est collective et joyeuse, l’ambiance toujours à la fête. Des personnages en mettent plein la vue, qui sortent d’abord d’un carnet de croquis puis apparaissent sur un mur. On regarde naître en direct ces créatures imaginaires, on les voit évoluer, changer de tête, de posture et d’humeurs, jusqu’à la signature finale.