A Nantes, deux seulement ont échappé au nettoyage. Rue du Chapeau-Rouge, le chat parachuté est toujours niché dans un coin sur un toit. Rue de l’Héronnière, les enfants de l’école primaire du Chêne d’Aron ont fait le nécessaire pour sa conservation. Intégré à l’établissement, le mur fait désormais partie du jardin pédagogique qui borde l’école. Après débat et discussion sur l’art et l’interdiction de peindre sur les murs, les élèves ont voté pour que M. Chat reste dans leur jardin. Depuis, il regarde pousser les plantes et fleurir les tomates !