D’autres inscriptions, en français ou en anglais, donnent à lire des extraits de chansons, de poèmes, des citations. Ou sortent droit du cœur : les mots d’amour, les « Je t’aime » et « I love you », se comptent à la pelle ! Des messages personnels, parfois avec de grosses fautes d’orthographe, apparaissent aussi régulièrement sur les murs : « Je voudrais vivre dans une comédie musicale », « On a frôlé la vie », « Guillaume, trouves donc quelqu’un de confiance pour tes clés », « Holà amigo, à la revoyure »…
Certains se veulent humoristiques : « Ceci n’est pas la ville de Nantes », « Inspect her gadget », « Peace love and Mickey mouse », « Le sens de l’humeur », « Je cours plus vite que vous », « Oh ! Le beau mur… », « On se pose on compose on se décompose, amen »…
Ou philosophiques : « Conjugue le verbe venir pour savoir sur quelle île trouver le trésor », « L’infini n’est jamais loin », « La beauté est partout, il suffit de la chercher », « Les mots plus forts que les chiffres »…
Sans oublier un peu de tout : « Lève tes yeux », « Un bon pirate ne suit jamais la voie indiquée », « Dansons ensemble », « T’as pas un ou deux milliards ? », « On est tous humains », « Ni ici ni ailleurs », « Encore une journée à embellir »…
Message, trace d’un passage, ces écrits ont en général une courte durée de vie mais laissent place à l’imagination : on peut s’inventer des tas d’histoires avec les mots de la rue !