En poursuivant l’exploration, on entend parler de graffeurs américains et européens qui ont débarqué dans la capitale dans les années 80 : les murs, les toits et le métro en ont pris un sacré coup ! On ne comprend rien à leurs noms bizarres, à leurs tags et graffs étranges, on essaye de démêler l’affaire. Et l’on mesure que depuis plus de 30 ans, un art pas comme les autres est né, initié par des graffeurs et par des artistes de rue, aujourd’hui étiquetés sous l’appellation “street art”.