Lorsque M. Chat est arrivé à Nantes, impossible de le manquer, même sans lunettes ! Après l’avoir photographié sous toutes ses coutures l’année 2000, l’invitation à poursuivre l’aventure était tentante. Il n’était pas seul sur les murs !
Il y avait déjà des tags et des graffs partout, mais le ressenti personnel n’était pas le même que face à un collage ou à un pochoir : aucune émotion, aucune compréhension de ce monde si décrié, codé et fermé, comme volontairement inaccessible, réservé aux seuls initiés.
Plus visuel et ouvert au grand public, plus attractif, le street art a été une porte d’entrée, une première clé pour découvrir et essayer de comprendre le monde des murs qui parlent. Attention, cela peut très vite devenir une passion !