C’est la faute au chat jaune ! Un jour de 1999, il souriait de toutes ses dents du haut de plusieurs immeubles nantais. A Paris, l’année suivante, il courait sur des toits ! Grâce à lui, les murs ont pris un autre sens : un monde s’est révélé, celui de l’art urbain et du graffiti.
En marchant dans les villes avec cet intérêt en tête, on se rend compte que chaque pas, ou presque, est l’occasion de lire une inscription, de voir un tag, de photographier un collage, un pochoir ou un graff. Il y en a partout ! Et soudain, le paysage urbain n’est plus le même. La rue devient comme un vaste musée en plein air, des œuvres y sont exposées, d’autres cachées, on peut s’amuser à chercher, ou laisser venir et se faire surprendre.